Pro-pri-é-taires !!!
A y est ! Elle est à nous depuis quatre jours maintenant, et même si nous travaillons dedans chaque jour, c'est encore dur de réaliser !
Arrivée chez notre notaire
La signature (ou plutôt les signatures, je ne saurais même plus dire combien de pages nous avons paraphées...) s'est très bien passée, je ferais bien ça tous les jours ! On a même bien rit, on sous-estime vraiment le potentiel humoristique des notaires. Et puis c'était instructif, j'ai appris ce que c'était qu'une clause de "tontine" (j'adore ce mot, il fallait que je le case quelque part) et que le terrain adjacent que Jérôme et moi voudrions acheter pour agrandir le jardin faisait partie de notre maison à l'origine. Et pour l'anecdote, sur ce terrain ce trouvait jadis un bâtiment détruit depuis qui abritait une "maison particulière", comme l'a chastement nommée le notaire de la vente, avant de préciser "c'était Sodome et Gomorrhe là-dedans". La maison s'appelait "Le bon accueil", ce qui se trouve aujourd'hui être le nom de la maison de retraite toute proche.... Du coup, notre notaire nous a demandé si nous pensions reprendre l'activité. On y réfléchit :-)
Jolie poignée chez le notaire du propriétaire
Après la signature, nous avons accompagné l'ancien propriétaire relever les compteurs (non, Mélina, pas de jeu de mot), puis il nous a gentiment présenté nos nouveaux voisins, qui sont tous des gens adorables et très accueillants. Il y a réellement un esprit de village, tout le monde s'entraide et se préoccupe des autres, et ça, ça n'a pas de prix.
Jérôme, Françoise (sa Maman) et moi travaillons donc chaque jour dans la maison. Jérôme a déjà démonté la cheminée décorative, Françoise décape et ponce partout où il y a du bois, et moi, bien sûr, je défriche ! Il nous faut encore arracher le papier peint du rez de chaussée, refaire un peu de plâtre, clore le jardin et peindre fenêtres et portes. Le reste, nous le ferons une fois installés.
A bientôt !